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Vivacité 2025 par nos jeunes reporters (2/2)


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Voici la suite du week-end atelier/reportage sur Vivacité. par Vous allez retrouver ici notre journée de dimanche avec l'album des photos faites par les jeunes, ainsi que leurs avis sur les spectacles vus et la retranscription de leurs interviews.

Vivacité 2025 par nos jeunes reporters (2/2)

Retrouvez la première partie du reportage ici : vivacite-2025-par-nos-jeunes-reporters-1/2

Après une magnifique première journée, il nous tardait de nous retrouver pour découvrir de nouveaux spectacles, continuer les photos et interviews, et surtout accueillir une nouvelle participante.

 

Pour rappel, l'article à partir du prochain paragraphe, ainsi que les photos, sont le fruit du travail des jeunes filles participant à l'atelier sur le week-end, tous les propos tenus sont les leurs... de vraies pros, d'autant qu'elles ont toute entre 9 et 11 ans ! La journée est présenté dans l'article de manière chronologique.

 

J3 Dimanche matin

Rendez-vous à l'espace pro, et une autre fille super sympa nous à rejoint pour cette journée, Pauline, nous sommes toutes contentes de nous retrouver et choisir de nouveaux spectacles à voir et photographier.

 

"Dans ma piscine" de la compagnie EA EO

(Compte tenu de la disposition du public et de l'aquarium, il a été plus compliqué pour les jeunes de prendre de belles photos...)

C'est un jongleur dans une piscine qui fabrique plusieurs objets, Il nage et tourne dans son aquarium tout en jonglant. Il y a sept objets qui peuvent couler ou flotter en fonction de leur poids. C'était très drôle, j'ai beaucoup aimé le moment ou il gonflait un ballon en forme de chien avec de l'eau et le moment ou il racontait sa journée à la fin du spectacle. 

 

"Radio Banane" du collectif La Méandre

(Du fait de la configuration dans un mini lieu clos, impossible de prendre des photos pendant le spectacle, nos jeunes se sont rattrapées ensuite avec les comédiens)

C'est un spectacle rigolo ou les acteurs étaient déguisés en singe et en toucan, ils racontent l'histoire des deux animaux qui inventent une radio "radio banane". Ils incarnent différents personnages et en rencontrent d'autres, ils sont dans une carcasse d'avion, j'ai adoré, surtout quand il y avait le personnage de la star (une chanteuse). C'était vraiment drôle.

 

Interview des comédiens : 

(Pour cet interview et le suivant, la retranscription s'est faite avec un logiciel qui retranscrit les audios en écrits, d'où la longueur plus importante, et ce sont les enfants qui ont choisi ce qu'il voulaient garder.)

Question : Comment avez-vous eu l'idée du spectacle ?

Réponse : 1- Alors c'est Pauline, une copine à moi qui avait 5 ans à l'époque qui ne savait pas lire et qui m'a demandé de lui lire Radio Banane qui est un livre de Clémentine Mélois et Rudy Spiessert, et en fait moi j'avais envie de monter un studio mobile plutôt pour les enfants.

2- Moi j'avais envie de faire un spectacle dans la jungle pour les enfants. Du coup on s'est dit que c'était une bonne occasion de faire un studio mobile de radio dans la jungle.

Q : Comment vous avez eu l'idée de la carcasse ?

R : Tout ça c'est dans le livre et ce qui est intéressant c'est de passer de l'idée à la réalité. Alors comment construire un avion quand on n'a pas trop de sous, qu'on n'est pas vraiment des constructeurs d'avion et qu'en fait on a envie de faire un spectacle pour les enfants, on appelle des copains et des copines qui font de la scénographie. ils et elles, ont réussi à construire cet avion. Il y a des vraies choses d'avion, il y a un ami qui est pilote qui nous a donné des vieux cadrans qui ne marchaient plus et il y a des choses, ça c'est du bois par exemple. Ça c'est du plastique.

Q : Mais donc il roule vraiment le camion. Vous êtes venus jusqu'ici avec ?

R : On roule avec oui, là il y a le volant. Et du coup on enlève quand même un peu les choses pour pouvoir voir la route. On a roulé pendant 7 heures toute la nuit et on est arrivés au petit matin. On vient de Chalon-sur-Saône, un autre endroit en France où il y a un gros festival qui ressemble à vivacité, qui s'appelle Chalon dans la rue.

Q : Comment faire un spectacle dans un si petit endroit ? 

R : C'est une spécialité, on va dire, de la compagnie. Il y a d'autres gens qui font ça, mais la compagnie, la Méandre, ses premiers spectacles, c'était dans des caravanes. Du coup, on aimait bien l'idée que ce soit un peu cosy, que ça fasse un moment où on n'est pas nombreux. Et en plus de ça, on avait envie que ce soit immersif. Immersif, ça veut dire qu'il y a plein d'enceintes, plein de lumières qui sont dispersées partout et qui donnent l'impression, par exemple, que quand il y a de l'orage, des fois, il y a des enfants qui sortent et qui se demandent s'il n'y a pas vraiment eu de l'orage. Du coup, c'est ça l'idée, c'est de vraiment faire comme si on était dans la jungle, au milieu de la jungle.

Q : Comment est venue l'idée des costumes 

R : On disait tout à l'heure qu'il y a une quinzaine de personnes qui ont travaillé sur le projet, dont une costumière, et c'est son métier. Et pareil, comme on disait tout à l'heure, comme on a travaillé dans les écoles, c'est les enfants aussi qui nous ont donné les idées de costumes.

Q : Tout ce qu'on trouve dans l'avion est dans le livre ? 

R : Il y a des certaines choses qui n'y a pas dans le livre. Il y a des personnages qui ont été adaptés. Et encore une fois, c'est avec les enfants des écoles qu'on a essayé de trouver qu'est-ce qu'ils parlaient le plus aux enfants. Parce que par exemple, dans le livre, il y a un grand couturier qui fait référence à Carla Garfield. Les enfants ne savaient pas qui c'était, du coup, nous on s'est dit, qu'on allait l'appelé Monsieur Mbap, les enfants, ils connaissent tous et ils aiment Mbapé. On trouvait que c'était marrant que ça fasse des références que les enfants y comprennent, et les adultes aussi. Pour le micro aussi, on s'est dit que les stars, surtout féminines comme Angèle ou Aya Nakamura, ont souvent des micros avec pleins de paillettes, ils valent souvent très cher, nous on a fait avec des autocollants, mais ça rend bien non ? 

Q : Pourquoi vous vous changez directement ici entre deux personnages ?

R : Au début, on avait mis un petit rideau pour aller se changer d'air. Et puis, finalement, on s'est rendu compte avec les retours des enfants que c'était pas nécessaire. On appelle ça se changer à vue, dans les termes du théâtre.  Et aussi, c'est quelque chose qui est très spécifique du théâtre d'objet, avec très peu de choses, on peut faire un personnage. En rajoutant une petite moustache, une casquette... on peut complètement changer d'imaginaire. Et ça, on aime bien. Et nous on travaille beaucoup avec de la récup, comme le petit chat qui vient d'Emmaus, les hauts-parleurs et les machines. Tout ça vient de notre région, de péniches, de décharges etc...

Q : Comment vous faites pour capter l'attention d'un public qui est jeune ?

R : La difficulté de ce spectacle, c'est que sur un public 12, 14, c'est très compliqué, et quand on a des ados ou des pré-ados, par exemple, c'est très compliqué parce qu'ils expriment beaucoup leur gêne et donc parfois ont du mal à s'impliquer dans le spectacle qui est participatif.  Avec les enfants, c'est plus simple, ils osent plus, mais si parfois ils décrochent, on les implique avec les serpents, les mygales etc.. et ça marche.  Après, la proximité fait que tu ne peux pas trop mentir. Les gens, ils te regardent dans les yeux. Du coup, en fait, ce spectacle, on l'a joué déjà presque 250 fois et à chaque fois, il faut faire comme si c'était la première fois qu'on le jouait et que nos personnages découvraient la jungle, pour que vous vous y croyez aussi. Et puis on s'appuie sur les regards des spectateurs attentifs, souvent quand on a des sessions où c'est un peu compliqué, on s'appuie sur une ou deux personnes qui sont un à fond dedans et ça nous donne de l'énergie.

 

J3 Dimanche après-midi

Après ce bon moment avec les comédiens de Radio Banane, une pause déjeuner bien mérité et le retour en famille pour plusieurs de nos jeunes, mais pour deux d'entre elles, la journée n'était pas terminée, bien au contraire, avec des interviews et deux spectacles. 

 

Interview d'Anne Le Goff, directrice de l'Atelier 231 et du festival Vivacité

Q : Bonjour. Quel est votre rôle dans le festival ? 

R : Je suis directrice artistique du festival et je suis aussi directrice de l'Atelier 231 qui est un centre national des arts de la rue et de l'espace public. C'est là où certaines compagnies viennent travailler en résidence des spectacles et c'est pas loin, il faudrait que je vous fasse visiter un jour. Et donc j'essaye de faire que tout le festival se passe bien avec pleins d'autres gens, et je participe à choisir les spectacles.

Question : Bonjour. Alors comment choisissez-vous les compagnies ?

Réponse : Pour choisir les compagnies qui viennent présenter leurs spectacles sur vivacité, je me rends sur plein de festivals en France et en Europe. Et  je fais comme vous vous avez fait, je fais mon petit programme, je me dis ah ça, ça a l'air intéressant, ça, ça va être bien, ça c'est de la danse, ça c'est du cirque. Je dois avoir peut-être 300 spectacles dans l'année pour pouvoir repérer une vingtaine de spectacles pour vivacité.

Q: Où logez-vous les artistes ?

R : Alors c'est une question très intéressante parce que sur vivacité, on a des artistes qui sont logés dans les lycées par exemple derrière nous, on a le lycée Marcel Samba et c'est un lycée qui nous accueille, les artistes vont dans les chambres de l'internat qui est vide à cette période. On a plus de 400 artistes qui viennent sur le festival donc il faut tous les loger, alors d'autres vont dans des hôtels, à l'EREA Dolto etc... tout un tas de lieux qui ouvrent leurs portes pour nous aider et accueillir le festival. Donc c'est super, c'est une collaboration.

Q : Comment avez-vous eu l'idée de la chasse au badge collector ?

R : Alors, ce n'est pas moi qui ai eu l'idée, comme on dit, il faut rendre à César ce qu'il y a parti à César. Donc là, la chasse au badge collector, ça vient d'une idée du service communication de la ville de Sotteville qui fait les programmes, vous avez vu les petits programmes papier, les affiches, toute la signalétique quand vous voyez les flèches vers des spectacles, c'est eux qui font ça. On avait un badge tous les ans, ils ont eu l'idée d'en faire un collector et de mettre des petites choses sur les réseaux sociaux pour que les gens s'amusent. Parce que vivacité, c'est aussi comme ça, c'est créatif, c'est ludique, c'est rigolo, on vient, on va aller chercher son badge. Un petit peu comme il y avait ces jeux sur les Pokémon à un moment donné. Il fallait aller chercher son Pokémon. Ça vient de ça, de dire les enfants, ça va les amuser, ça permet d'impliquer les jeunes aussi dans le festival et puis d'avoir un petit cadeau en prime.

Q : Comment avez-vous eu l'idée du spectacle participatif du coup d'envoi ?

R : Alors le festival a 36 ans cette année. Donc avant moi, il y avait d'autres personnes qui œuvraient pour le festival, qui l'ont créé. Ces personnes-là se disaient que c'est très important d'impliquer les associations, tous les habitants de la ville qui vont lancer le festival tous ensemble. Donc pendant une semaine des artistes sont venus travailler avec les habitants, les écoles, les résidences de personnes âgées, les dispositifs pour les ados etc...  Il y a vraiment l'idée que tout le monde fasse la fête, car oui c'est un festival artistique, mais il y a vraiment cette idée de fête, de participation de tout le monde car c'est gratuit. On y vient en famille, toutes les générations viennent, on crée un espace de convivialité dans le Bois de la Garenne notamment. Et puis même si on a pas trop de moyens, on peut voir pleins de spectacles, jouer dans l'espace enfants.

Q : Justement pour les gens qui n'ont pas de moyens, vous faites quoi ? 

R : Alors comme je le disait, déjà les spectacles sont gratuits, qu'on vienne seul ou à dix, et c'est déjà merveilleux. Après nous avec l'Atelier 231, pendant le festival mais aussi toute l'année, on propose des plats pas chers à 4/5 euros par exemple. Et puis il y a des associations qui emmènent aussi des groupes qui n'ont pas beaucoup de ressources, qu'ils puissent se déplacer etc.. Il y a beaucoup d'acteurs sociaux, d'associations qui font en sorte que tout le monde puisse venir sur le festival et sur d'autres temps forts.

Q : Comment avez-vous eu l'idée de l'affiche ?

R :  Tout à l'heure je vous ai parlé du service communication de la ville, on travaille vraiment ensemble, le graphiste qui dessine l'affiche échange avec moi, je lui dis la thématique de l'année du festival, et par exemple cette année, je lui ai raconté qu'il y aurait un grand spectacle avec du feu, qu'il y aurait un coup d'envoi carnavalesque et pleins d'autres choses, et lui, il a écouté tout ça et en a tenu compte pour proposer l'affiche que vous voyez. Et puis, une chose très importante, notamment pour les élus, est que l'affiche soit vivante, car ça reflète bien l'esprit du festival. Parfois une main, cette année un visage etc.. 

Q : Parlez-nous du coté "festival safe et serein" ? 

R : Comme je vous disait le festival est vraiment pour tout le monde, il y a pleins de gens avec des poussettes, des enfants, il faut que tout le monde se sente à l'aise et puisse se déplacer sereinement sans contrainte. En cas de blessure par exemple, il y a la protection civile sur place, les pompiers pas loin. Pour la sécurité, i ly a des spectacles un peu tard le soir, et comme c'est dans la ville, il pourrait y avoir une agression par exemple, alors il y a la police présente sur place, mais il y a aussi des gens qui sont là pour écouter une victime, la prendre en charge et faire que son festival se termine bien, vous pourrez voir ces gens dans les espaces de convivialité par exemple. Voilà pour le coté "safe". Et pour le coté serein, c'est surtout par la bienveillance et en évitant les incivilités, il faut s'asseoir au bon endroit, pas se mettre debout devant quelqu'un qui est assis dans un spectacle, ce sont toutes les bonnes pratiques et les bonnes manières pour vivre un festival partagé de la meilleure façon possible qui sont expliquées.

Q : Qu'est-ce qui vous motive le plus dans votre travail sur le festival ?

R : En fait le but, c'est que tout le monde soit heureux, que les gens un peu tristes, ceux qui n'ont pas trop de budget pour sortir, puisse passer un moment ou ils sont heureux, ou ils vont s'amuser. Le fait d'oublier ses soucis du quotidien, découvrir des spectacles, trouver un petit moment de bonheur. C'est vraiment ce qui m'anime dans mon métier, la joie du public ! 

Certaines personnes ne viendront pas car on ne peut jamais plaire à tout le monde, ou alors parce qu'ils ne se sentent pas à l'aise, mais comme c'est libre et gratuit, on ne veut surtout pas forcer les gens, juste proposer et essayer d'apporter un peu de bonheur.

Q : Une dernière question, expliquez-nous les partenariats et mécènes ? 

R : Alors, autour du festival, il y a plusieurs sortes de partenariats, il y a les partenaires publics comme les lycées qui vont nous proposer des chambres pour les artistes, la ville qui va organiser et mettre à profit de nombreux services pour l'organisation et l'installation par exemple. Et puis cette année une nouveauté, comme il y a moins d'argent public pour la culture, et que nous ainsi que la commune souhaitions vraiment que le festival ai lieu et à nouveau sur trois jours, nous avons eu des partenaires privés. C'est à dire des entreprises qui nous donnent de l'argent. ce sont toutes des entreprises locales, très attachées à Sotteville, au festival, à la diversité et qui ont dit, nous on veut aider le festival, ils sont convaincus que cela fait rayonner la ville, donne envie aux gens de venir, et donc c'est aussi un plus pour eux.

 

A body and others objects de Ana Jordao et Vincent Kollar

Un spectacle poétique et un peu acrobatique ou la femme est accrochée par les cheveux et est comme une marionnette. Par moment on aurait dit comme un combat d'arts martiaux. Très beau et en plus ça nous a changé car ce n'était pas dans le Bois de la Garenne mais dans la Zone Verte. 

 

La Chute de la compagnie Acid Kostik

Un spectacle très drôle qui est fait autant pour les adultes que les enfants, avec beaucoup d’interactions avec le public. J'ai beaucoup aimé l'histoire qui démarre avec un livreur de pizza qui tombe et une possible bombe. Il y a un narrateur très amusant, un musicien et surtout deux policiers vraiment fous. On rigole beaucoup, c'est très absurde et recherché. Quelle créativité et en plus c'est une compagnie normande et c'est coproduit par l'Atelier 231 !

 

Après ce dernier spectacle, il était temps de terminer la journée à l'espace pro, et on en a profité pour interviewer deux personnes qui s'occupaient de l'accueil de l'espace. 

Interview accueil pro

Q : quel est votre rôle sur le festival ? 

R : Nous sommes à l'accueil des professionnels, c'est à dire les directeurs de structures, les programmateurs et programmatrices qui viennent découvrir le festival et pour certains acheter des spectacles, repérer des compagnies etc.. 

Q : Et vous accueillez les artistes ? 

R : Alors pas nous directement mais coeur du festival, les compagnies du "in" sont accueillies par Anne Le Goff, et les compagnies du "off" par Violette et Sam. La différence est que le In ce sont les spectacles achetés pour le festival et le Off des compagnies sélectionnées pour le travail qui ont besoin de se montrer, de se faire connaitre, justement pour que derrière des programmateurs achètent leurs spectacles.

Q : Qu'avez vous pensé de cette édition de Vivacité ?

R : On est super contentes, il a fait beau, il y a eu beaucoup de monde, et pour nous beaucoup de professionnels qui sont venus. Et petite nouveauté cette année, pour tenir compte de la forte chaleur, les spectacles étaient programmés à des horaires adaptés, le matin plus tôt, en fin d’après-midi... Et on est très contente du retour sur trois jours, c'est vraiment dans l'ADN du festival.

Q : Est-ce que vous avez eu le temps de voir des spectacles quand même ? 

R : Pas vraiment, à part le soir tard ou le matin très tôt. Car une année ne fait pas l'autre, et il y a eu des professionnels à accueillir tout au long du week-end. Mais j'ai quand même pu voir le Chienchien de Babaskerville qui était vraiment très bien. Après grâce au bouche à oreille et aux conseils, on va voir pas mal de spectacles sur d'autres festivals, alors oui c'est un peu frustrant, mais c'est le jeu et on a adoré notre travail sur ces trois jours. 

Ok merci à vous pour ce moment.

 

Et voilà c'est la fin de notre aventure sur Vivacité 2025, enfin pas tout à fait, car Naila et Pauline, les deux dernières filles présentes dans le groupe, on fait des photos d'elles et se sont vraiment prises au jeu de la photographie.et trois semaine après, Naila et Ambre, se sont retrouvées à la Maison des Associations de Sotteville, pour finaliser les articles et le choix de photos, un dernier bon moment avant des vacances bien méritées pour nos reporters en herbe. 

 

Article proposé par So'SpAC, ses six jeunes reporters du jour : Naïla, Ambre, Zélie, Sulianise, Pauline et Mathilde ainsi que l'animateur de l'atelier Guillaume.

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Photos associées : Atelier reporters Vivacité 25 (2/2)

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